Il y a des formes improvisées, incolores, infinies et toutes les formes sont des rêves. Il y a ce lien aux lieux, précis et mobiles. Je passe dans les bras des arbres d’où tombent les mots et leurs fleurs. Je traverse cette couverture de sens et d’images, je passe le fil dans les failles des murs, je touche les empreintes du temps. Et de la joie et de l’inconnaissable, j’enroule les mouvements, je dénoue la chute des fleurs, j’arrive enfin à l’origine du corps naissant, aux lianes et la vie que mes mains ont écrites.
L’eau coule, j’entends un filet d’eau parcourir ma vie.
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[Roubaix - 2024/2025]