à l'instant où les arbres se vident
leurs bras coupés par les calculs de l'homme
on peut voir sur le faîte deux yeux baissés
et la chaleur informe au pied du crime
autour d'un seul corps
les choses de la vie valsent
par une musique en pêle-mêle
qui n'a ni d'avant ni d'après
le coeur du vent bat si fort